Le collégial privé, seulement pour les riches?
«Hélas!, s’exclameront certains en appliquant leur crème solaire, c’est déjà le moment de penser à la rentrée.» Et de s’interroger sur le type d’institution collégiale qui leur conviendrait le mieux : privé ou public?
Dès septembre, quelque 17 000 étudiants suivront des cours dans les 25 établissements privés du collégial (subventionnés par l’État québécois) et dans divers types de collèges, dont ceux qui offrent des programmes d’études préuniversitaires, ceux qui proposent l’apprentissage de techniques conçues en fonction du marché du travail et ceux où les deux cohabitent.
«Souvent les étudiants choisissent le collégial privé, parce qu’ils ont besoin d’un accompagnement plus personnalisé que dans le secteur public. C’est un peu la marque de commerce des collèges privés et c’est pourquoi ces jeunes adultes font le choix de suivre une formation dans une de nos institutions», indique Pierre L’Heureux, directeur général de l’Association des collèges privés du Québec, en prélude à une explication exhaustive.
Contrairement à une croyance répandue, le collégial privé n’est pas réservé aux seuls membres des classes les plus fortunées : certains établissements qui se spécialisent dans les formations techniques accueillent aussi des étudiants qui, en raison de leurs résultats scolaires trop faibles, ont été refusés ailleurs.
Selon un sondage effectué auprès de la clientèle des collèges, écoles et instituts qui mènent à un diplôme reconnu par le ministère de l’Éducation du Québec, les principales raisons pour s’inscrire au privé sont les suivantes : se constituer un réseau de contacts (grâce à l’abondance d’activités extrascolaires); la taille du collège et les groupes plus petits ( qui favorisent les rapports humains); la maximisation des chances de réussite (par les mesures d’accompagnement); l’encadrement personnel plus proche de l’esprit de village que de l’anonymat urbain; la possibilité d’effectuer un programme en deux ans plutôt que trois et, finalement, la grille horaire, qui serait plus souple que dans le secteur public.
Les résultats de ce sondage, commandé par l’Association des collèges privés du Québec (ACPQ), ont été dévoilés lors d’une rencontre thématique qui s’est déroulée à Trois-Rivières en décembre 2012.
Le choix
«Hélas!, s’exclameront certains en appliquant leur crème solaire, c’est déjà le moment de penser à la rentrée.» Et de s’interroger sur le type d’institution collégiale qui leur conviendrait le mieux: privé ou public?
Dès septembre, quelque 17 000 étudiants suivront des cours dans les 25 établissements privés du collégial (subventionnés par l’État québécois) et dans divers types de collèges, dont ceux qui offrent des programmes d’études préuniversitaires, ceux qui proposent l’apprentissage de techniques conçues en fonction du marché du travail et ceux où les deux cohabitent.
«Souvent les étudiants choisissent le collégial privé, parce qu’ils ont besoin d’un accompagnement plus personnalisé que dans le secteur public. C’est un peu la marque de commerce des collèges privés et c’est pourquoi ces jeunes adultes font le choix de suivre une formation dans une de nos institutions», indique Pierre L’Heureux, directeur général de l’Association des collèges privés du Québec, en prélude à une explication exhaustive.
Contrairement à une croyance répandue, le colléxgial privé n’est pas réservé aux seuls membres des classes les plus fortunées : certains établissements qui se spécialisent dans les formations techniques accueillent aussi des étudiants qui, en raison de leurs résultats scolaires trop faibles, ont été refusés ailleurs.
Selon un sondage effectué auprès de la clientèle des collèges, écoles et instituts qui mènent à un diplôme reconnu par le ministère de l’Éducation du Québec, les principales raisons pour s’inscrire au privé sont les suivantes : se constituer un réseau de contacts (grâce à l’abondance d’activités extrascolaires); la taille du collège et les groupes plus petits ( qui favorisent les rapports humains); la maximisation des chances de réussite (par les mesures d’accompagnement); l’encadrement personnel plus proche de l’esprit de village que de l’anonymat urbain; la possibilité d’effectuer un programme en deux ans plutôt que trois et, finalement, la grille horaire, qui serait plus souple que dans le secteur public.
Les résultats de ce sondage, commandé par l’Association des collèges privés du Québec (ACPQ), ont été dévoilés lors d’une rencontre thématique qui s’est déroulée à Trois-Rivières en décembre 2012.