Rester assis
CHRONIQUE – Depuis quelques semaines, je suis habitée par un fait divers sordide. J’y pense tous les jours. Plusieurs fois. Un fait divers qui, comme tous les faits divers, se
CHRONIQUE – Depuis quelques semaines, je suis habitée par un fait divers sordide. J’y pense tous les jours. Plusieurs fois. Un fait divers qui, comme tous les faits divers, se
CHRONIQUE – Avec la lune des moissons, s’est balayé l’automne dans la cour. J’ai sorti ma chandelle muscade-clous de girofle et déposé mes cristaux sur le bord de la fenêtre avec
C’est encore l’été, mais sa lourdeur nous a enfin quitté. Au bulletin météo. Celui d’ici, du moins. Parce qu’à New York, c’est encore un peu humide. Et ailleurs, ça brûle,
Peaux de lièvres et mitaines sur le cail. Hier, 27 février, ça a fait tout juste deux ans que Guy est parti. Deux années à ne pas nourrir ses «rovers»,
Édredon qui sort de la sécheuse et petit bec au cou. Une entrée sans courbettes, ananas sur le crâne ni enlevante conga de carnival cruise. J’ai, aujourd’hui, envie de douceur.
Petit sac de gros sel et split sur la glace vive! Quel janvier de rêve. Menu verglas, brise printanière et surtout, surtout, que d’affriolants constats: on peut se calmer les
Ivresse et bonnet de mohair. Voilà que janvier, fidèle ombre sur nos chouclaques, se déploie les très longs sourcils sur l’inexorable attente des beaux jours. Retour au travail, petit post-it
Fièvre printanière et petits pogos vegans servis dans un chapeau melon dans un pique-nique urbain. La frénésie est à son pinacle! Bon. Entre deux plaintes sonores sur le frimas de
Salutations. Quel soulagement que ces arbres en bourgeons et ces magnolias sur le point d’exploser de toute cette beauté qu’on ne croyait plus possible. Cette semaine de mai est sans
Tendresses printanières. Connaissez-vous Jacques? Jacques va quelque part, contrairement à nous tous, qui errons dans la ville sans destination précise en nous dressant sur son chemin comme de ticounes obstacles.