C’était le Jour J, lundi, pour les candidats de la Coalition avenir Québec (CAQ), du Parti libéral du Québec (PLQ), de Québec solidaire (QS), du Parti québécois (PQ) et du Parti conservateur du Québec (PCQ). Après 36 jours de campagne au cours desquels les chefs et leurs équipes auront croisé le fer, les électeurs ont pris la parole et voté pour le parti qui gouvernera le Québec pour les quatre prochaines années.
Les électeurs ont finalement choisi d’accorder un second mandat historique à François Legault. Notre couverture de la soirée électorale est terminée. Pour revoir le travail de nos journalistes, lisez ci-bas.
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Voici les résultats de l’élection sur l’île de Montréal. *Les résultats sont incertains pour les circonscriptions de Verdun et Anjou-Louis-Riel.
Malouise Aridou, résidente de Jean-Mance-Viger, Milite dans marquette pour Enrico Ciccone du parti libéral. Cette bénévole a avoué avoir été déçue : elle s’attendait à un gouvernement caquiste, mais minoritaire.
« Ça va nous propulser pour former le nouveau gouvernement »
François Legault devrait commencer son discours dans quelques minutes. Les bénévoles et membres de la CAQ lui ont préparé une haie d'honneur.
GND ayant commencé son discours alors que le premier ministre réélu devait faire son entrée, ce dernier est retourné dans sa suite à l’hôtel Capitole.
Nicole Lavigne, péquiste depuis les débuts, avec l'élection de Paul St-Pierre Plamondon dans Camille-Laurin, «l'espoir est retrouvé». Celui qu'elle considère comme «le gaulois de Montréal» incarne la relève et sera le mieux placé pour mobiliser la nouvelle génération péquiste.
Les sondages, de bien mauvais augure pour le PLQ ont poussé des militant à baisser leurs attentes. Ceux-ci demeurent donc confiants et satisfait quant à l'avenir du PLQ
Randy Belhan, résident de la circonscription Marie-Victorin et militant pour le PLQ, affirme que les résultats sont représentatifs de ses attentes : les sondages ne manquaient pas.
«J’aimerais qu’on mette de la pression sur la CAQ, sur les questions d’immigration et de la langue française» a-t-il commenté en lien avec le statut d’opposition officielle de son parti.